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Blog culinaire qui fait voyager

Piperade, une spécialité culinaire basque

Légumes Végétarien

Pays Basque ©mimadeo Shutterstock

Pays Basque ©mimadeo Shutterstock

Amis de l’internet mondial, sachez que quand vous postez une recette vous prenez le risque de vous attirer les foudres de ceux qui détiennent la VRAIE recette. Et encore plus quand il s’agit d’une recette régionale. Je risque par exemple avec cette recette de piperade les commentaires du type :

  • Elle est nulle ta recette, ce n’est pas du tout comme cela qu’on fait, je le sais, je suis basque. Taper 1
  • Elle est nulle ta recette, ce n’est pas du tout comme cela qu’on fait, je le sais, je suis béarnais(e). Taper 2
  • Des poivrons dans la piperade ? Et pourquoi pas des courgettes tant qu’on y est. La piperade c’est avec des piments d’Anglet et puis c’est tout.
  • Pas d’oeuf dans la piperade ? En fait c’est une ratatouille que tu nous proposes.
  • Et il est où le jambon de Bayonne ? Non mais allo quoi.

Bref

Tout cela pour dire que j’ai mis des poivrons dans la piperade. Je risque l’excommunication. Il faut dire que même en saison je ne trouve pas les délicieux petits piments d’Anglet ni ceux toujours aussi bons du Pays Basque et du Seignanx. Et pourtant j’habite Bordeaux. Alors je me dis que si vous habitez Lille ou Montpellier, vous risquez d’avoir les mêmes difficultés d’où les poivrons.

Voici la recette de la piperade

Piperade

Piperade

Voici donc la recette de cette piperade pour 4 personnes (ou 6 petits mangeurs) :

Ingrédients

Préparation

Pelez les oignons et coupez-les en dés.

A l’aide d’un économe, enlevez la peau des poivrons, des piments et des tomates. Coupez les oignons en dés, les poivrons et les piments en lanières et les tomates en quarts.

Versez l’huile d’olive dans une sauteuses. Faites la chauffer et ajoutez les dés d’oignons. Faites-les cuire 5 minutes à feu doux. Ajoutez ensuite les lanières de poivrons et de piments. Laissez mijoter à nouveau 7 à 8 minutes en mélangeant régulièrement.

Ajoutez enfin les morceaux de tomates, le sel, le sucre et le poivre.

Faites cuire à feu vif 10 minutes puis 20 à 30 minutes à feu moyen (tout dépend de la taille de vos légumes, plus ou moins larges).

Si vous voulez rajouter des oeufs, c’est en fin de cuisson, qu’il faudra battre en omelette 2 oeufs et les incorporer au mélange à base de tomates en fouettant énergiquement pendant 5 minutes.

Cette piperade est délicieuse telle quelle, mais aussi en accompagnement d’une viande ou d’un poisson grillé et bien sur, de tranches de jambon de Bayonne. Je l’ai aussi servie avec une saucisse de Toulouse grillée.

 

Enjoy !

Allez on en discute ?
Les avis
  • MlleJuin a écrit le 21 juillet 2014
    5

    J’adore la piperade! Je l’ai découverte grâce à ma grand-mère, elle l’accompagne toujours avec du jambon de Bayonne, et depuis je suis une véritable adepte.
    La tienne a l’air délicieuse, il faudra que j’essaie 😉

  • VlaJulia a écrit le 12 août 2018
    4

    Mes tomates ont tiré pas mal d’eau en cuisant, la consistance doit être liquide?
    Merci 🙂

    • Anne a écrit le 12 août 2018

      Coucou

      Non, pas liquide. Comme sur la photo. Une ratatouille avec du jus pour te donner une idée 🙂

  • coco a écrit le 17 août 2019
    5

    Piperade toujours délicieuse Personnellement je rajoute des gousses d’ail et fais revenir ou des couennes de jambon (de Bayonne bien sûr) coupés comme des lardons. Un régal à mon avis et qui a toujours beaucoup de succès

  • Bernard a écrit le 3 août 2020
    5

    Bonjour
    Ça fait un bout de temps que je suis votre recette et je confirme 👍🙂
    Essayez ce truc, poivrons, piment et oignons au BBQ la peau bien noircie et pour nous beaucoup de piment d’Espelette c’est bomba atomica💥😛

  • Pascal a écrit le 24 août 2020
    5

    Merci pour cette recette.
    Impeccable 😉
    J’ai juste rajouté 2 feuilles de laurier et une pincée de thym 😉

  • kris de l'isére a écrit le 1 septembre 2020
    5

    Bonsoir je viens juste de finir la recette….une tuerie…trop bon
    merci…et hop stérilisation…

  • Barbara a écrit le 5 août 2023
    5

    Miam miam maim miammmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm
    elle est parfaite ta piperade na

    on dirait de la frita (je rigoleeeeeeeeeeeeeee!!)😉😂
    non vraiment extra
    moi j’aime !et toc
    ps hier j’ai justement lu une recette publiée et titrée « salade niçoise » (tu sais l’autre truc à polémique!!# et j’avoue j’ai failli m’étrangler car elle débutait en faisant cuire des pommes de terre et des haricots verts sic! on pouvait même remplacer l’huile d’olive par de la mayonnaise
    re sic
    j’avoue j’en suis pas remise
    🤣😉😣

    • Anne a écrit le 6 août 2023

      Merci Barbara 🙂

      hihihi, pour la salade Niçoise 🙂

  • Mychelle a écrit le 5 août 2023
    5

    Moi j’aime bien ta piperade avec seulement quelques bouts de jambon revenus avec les piments.
    Je suis actuellement à Montpellier et…je trouve des petits piments sur le marché…mais je ne pense pas qu’ils viennent d’Espelette ou d’Aanglet!😊bon week-end

Les commentaires
  • Cécile - Une quadra a écrit le 18 juillet 2014

    Tu vis vraiment dangereusement 🙂
    En plus l’épluches les tomates et les poivrons à l’économe… inconsciente que tu es alors que ce ne sont pas les méthodes traditionnelles.

    Mais c’est pas grave parce que c’est très bon comme ça, je ne la fais jamais autrement non plus.

    Et sinon pour faire diversion on peut ajouter du chorizo normal ou à griller avec c’est bon… (team le chorizo c’est la vie)

    • Anne a écrit le 18 juillet 2014

      oui, j’ai peur 🙂 Ahhhh le chorizo #PlusBelleTeam

    • Iker a écrit le 4 septembre 2020
      4

      C’est très très vilain de dire qu’on épluche les poivrons au couteau économe, et de ne pas le faire 😉

      En réalité je le fais pas aussi au rasoir à légumes en coupant les poivrons en six Ou huit dans la hauteur pour avoir la bonne largeur de coupe.

      Les piments dits d’Anglet, mais qui poussent en réalité dans le val d’Adour de part et d’autre du fleuve sur ses rives basques comme gasconne mais aussi à peu près partout dans les plaines du Labourd et de Basse Navarre, ne se trouvent qu’à partir du mois d’avril jusqu’à septembre-octobre voire novembre.
      Les tomates aussi normalement. À partir de juillet, août, si on ne les force pas sous serres.

      C’est un plat de saison mais qui mérite de se faire en conserve quand on a atteint la parfaite cuisson, texture.

      J’en ai fait l’année dernière pour la première fois, une vingtaine de bocaux.

      Dans les dix jours prochains nous allons en faire une centaine pour en avoir tout l’hiver.

      Les piments (toujours dits) d’Anglet sont difficiles à trouver hors du Pays basque, et du Sud Ouest

      Mais ils peuvent être remplacés par des piments verts qu’on appelle des « cornus » qui sont à mi chemin entre la taille fine du piment doux (vert) et du poivron vert qui est large et dont la peau est épaisse et doit être épluchée car elle ne se digère pas bien.

      Les piments doux et les cornus c’est derniers viennent de Navarre (en quasiment toute saison désormais) n’ont pas besoin d’être épluchés. Leur peau est fine, et les cornus sont surtout biscornus. Et le goût est quasiment le même.

      Est ce que les basques s’approprient tout ?

      Ben les piments, les tomates, les haricots, le maïs, le chocolat, la pomme de terre sont arrivés d’Amérique par les ports et des marins basques qui les ont acclimatés dans leurs Etxe, leurs maisons (se prononce etche) qui étaient composées de la famille élargie et pouvait comporter des dizaines de membres.

      Le rôle du potager, comme de la cuisine, comme de diriger la maison, était celui des femmes qui, à la différence du droit romain, héritaient des maisons autant que les hommes depuis la nuit des temps car il s’agit d’une société matrilinéaire.

      Les marins basques venant aussi bien du Labourd que des autres provinces basques marines, Gipuzkoa et Biscaye, que des provinces intérieures, mais parfois aussi de Gascogne, ils ont semé tout ce qu’ils ont ramené dans leurs villages d’origine. Et certains fruits et légumes se sont acclimatés plus ou moins, et d’autres pas du tout.

      Le piment n’avait pas de nom en basque, puisqu’il venait d’Amérique mais il avait nécessairement une nom en latin comme toute les plantes.

      En latin, poivron se dit Capsicum annuum, et le piment d’Espelette Capsicum annuum gorria (ce qui veut dire rouge). Il s’est acclimaté et à gardé cette force et ce parfum subtil dans les creux des vallées qui jouissaient d’un microclimat Avec l’alternance des vents d’Ouest, pluvieux, et du Sud avec effet de fœhn, plutôt secs dans les mêmes communes où l’on asséchait le jambon qui a besoin de cette alternance des vents d’Ouest et du Sud. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs on fait des jambons plutôt en altitude dans toutes les régions montagneuses d’Europe (Pyrénées, Corse, Savoie, Alsace, Auvergne, Andalousie, Estremadure, Parme ou Val d’Aoste Et suisse ou Autriche aussi, ou Sud de l’Allemagne) et donc en Pays basque parce que pour sécher correctement il faut un climat d’alternance régulière entre les vents frais de l’ouest et chauds des effets de fœhn

      Si le jambon de Bayonne porte le nom de Bayonne, comme le vin de Porto ou de Bordeaux portent leurs noms, c’est parce que les jambons ou les vins provenaient de toute la région, et étaient exportés à partir de ces ports. Tout simplement.

      Mais dans le cas du jambon de Bayonne, il y a une autre raison. C’est que depuis la nuit des temps, Bayonne, et les villages de la rive gauche de l’Adour, Hiriburu, Mugere, Beskoitze (Saint Pierre d’Irube, Mouguerre et Briscous) disposaient de mines de sels d’un sel gemme très pur, qui était nécessaire à la conservation des jambons.

      Les conditions de séchages NATURELLES idéales des cochons se situent dans des altitudes de 300 à 900 mètres. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le terme générique de jambon en Espagne est jambon Serrano c’est à dire jambon de montagne.

      Donc le jambon certes provenait de Jambons issus cochons en général pyrénéens, d’abord de l’hinterland Bayonnais, c’est à dire le Labourd, la base Navarre et la Soule, mais aussi du royaume de Navarre dont Bayonne était le port, depuis la perte du Gipuzkoa.

      Ce n’est que récemment avec l’industrialisation des séchoirs qu’on s’est mis à faire des jambons séchés en plaine. Et que pendant des décennies de productivisme agricole on s’est mis à faire du jambon « de bayonne » en Bretagne, en Belgique, aux Pays Bas ou au Danemark. Grâce aux séchoirs industriels, au productivisme agricole et cette propension du système marchand et du capitalisme à s’approprier les recettes des terroirs et à en faire des ersatz infâmes en y collant une étiquette genre jambon d’York, qui n’est jamais vu la couleur du Yorkshire, ou jambon de Bayonne De cochons qui n’avaient jamais respiré l’air de la montagne. Et qui souvent n’avaient jamais respiré d’air du tout.

      Dans les années 80, un certain nombre d’acteurs locaux ont voulu mettre un terme à cette dérive où sous la même appellation, se trouvaient de vrais merveilles gustatives issues d’un terroir et d’une tradition et les dérives du cochon sous vide qui ne méritait pas le moins du monde le nom de jambon.

      Le problème c’est que du fait des mêmes techniques d’élevage et de séchage industriel, la filière du cochon c’est développé dans le Béarn, et le Sud des Landes, et que ces filières industrielles et de puissants lobbies qu’il y avait derrière n’ont pas voulu abandonner la prestigieuse réputation du jambon de Bayonne

      Et voilà comment pour éviter une guerre civile en tout vas virtuelle, des industriels d’autres périmètres que les provinces basques ont bénéficié de ce label.

      Un jambon de Bayonne était donc un jambon qui devait
      – provenir de cochons élevés dans le bassin de l’Adour
      – et salé au sel réputé l’un des plus purs au monde, venant de bayonne et de ses environs.

      Là où ça se complique, c’est que pour accéder à ce sel, sédimenté il y a des millions d’années, du temps où les océans étaient beaucoup plus hauts, il fallait creuser de plus en plus profond.

      Et que pour des usages alimentaires, il n’était plus compétitif par rapport à d’autres sels provenant d’ailleurs.

      Les mines de sel ont fermé les unes après les autres.

      Et donc le jambon de Bayonne n’était plus issu de cochons fermiers des montagnes les plus proches, n’était plus salé avec du sel de bayonne, et n’était plus exporté vers le monde entier du port de Bayonne.

      Mais historiquement c’était ça le sujet.

      Alors de nouvelles filières d’excellence se sont développées autour de cochons revenant à l’esprit du jambon artisanal, lié à des races de cochons anciennes cousines des cochons ibériques, comme le cul noir de Bigorre, ou le Kintoa ou d’autres encore. Mais ils ne portent plus le nom de « jambon de Bayonne » parce qu’ils ne prétendent ni partir du port de Bayonne, ni être salé au sel de Bayonne.

      Certains de ces jambons sont désormais salés au sel marin comme le sel de Guerande. D’autres se sont tournée vers le sel provenant des sources salines de Salies de Béarn.

      Quand au mot piperade il ne vient pas du gascon piper, mais du latin piper et des piperacée c’est à dire de l’espèce d’arbres qui donne du poivre.

      Ni le piment d’anglet, ni le piment doux ni le poivron n’avaient la fonction de poivrer la piperade

      Mais le piment d’Espelette lui remplaçait le poivre dans les familles basques voilà pourquoi la piperade porte le nom de piperade parce que c’était un plat qui était épicé avec du piment gorria, le plus fort des piment doux et le plus doux des piments forts

      Une piperade peut remplacer le piment vert doux dit d’Anglet par du cornu vert de Navarre ou par du poivron vert épluché, ça ne posera pas de problème.

      Mais ce qui va le « piperiser » c’est le piment gorria, qu’on appelle désormais le piment d’Espelette.

      Et une piperade pour qu’elle soit parfaite c’est l’association de trois choses :
      – la recette que sauce mijotée tomate-oignons-piments doux verts-ail et piment d’Espelette
      – Une tranche de jambon poêlée brièvement de chaque côté par personne
      – Un à deux œufs par personne.

      Et un très bon pain au levain pour tremper dans l’œuf et saucer

      Mais là il y a une autre querelle qui se profile. Faut il brouiller les œufs dans la piperade ou faut il avec une louche y ménager des creux pour laisser les œufs se pocher deux ou trois minutes. J’appartiens à la deuxième école. 😀

      • Anne a écrit le 4 septembre 2020

        🙂 merci

      • Jose Alves pinto a écrit le 19 janvier 2021

        Merci Wikipedia

      • Maïté a écrit le 21 juin 2021
        5

        Et bien pas de jaloux chez moi car on brouille quelques oeufs (selon la taille de la cazuela) mais on en fait pocher également quelques uns mais dans le Béarn, le jambon de Bayonne c’est une obligation 😉

        • Anne a écrit le 21 juin 2021

          🙂 Merci de ton retour

      • Marcavok a écrit le 2 avril 2023

        Bonsoir, j’ai apprécié votre texte. Je n’irais pas vérifier vos assertions parce qu’elles sont agréables à lire, qu’elles sont le reflet de votre passion pour le terroir basque en particulier et le terroir en général, parce que, contrairement à ce que croient certains, il est important de cultiver l’exception de proximité. Merci de n’être pas comme les autres, merci de votre bel ajout à la pluralité !

  • dida a écrit le 18 juillet 2014

    moi aussi j’aime epucher mes poivrons à l’aide d’un économe ca evite d’allumer le four et je trouve que les poivrons cuit d’abord au four ca n’a pas le meme gout.Je fait ma piperade comme toi sauf les piments à la place je met du piment d’espelette.
    Tu sais c’est comme la pissaladiere oui la garniture c’est que oignons et anchois ben nous on aime pas, on aime avec quelques rondelles de tomates en plus et de l’emental rapé.

    • Anne a écrit le 18 juillet 2014

      🙂 merci de ton retour d’expérience Dida

  • gracianne a écrit le 18 juillet 2014

    Tu aurais pu titrer « Ceci n’est pas une piperade » 😉 (je suis Basque, je sais ce que je dis).

    Moi aussi, a defaut de trouver les piments verts basques j’utilise des poivrons verts en ce moment (je fais meme de pires heresies). De toutes facon, la seule facon de les trouver en dehors du pays ces piments, c’est de les cultiver soi-meme, tu devrais essayer sur ta terrasse.

    • Julie06 a écrit le 18 juillet 2014

      juste pour dire que ce ne sont pas des piments basques mais plutot landais Bon je sais les Basques aiement bien s approprier plein de choses, la piperade (piper = piment en gascon et non basque, le beret qui est bearnais, le jambon de Bayonne qui n a rien de Bayonne, mais sans rancune, vous etes plus doues por la promotion alors tant pis pour les non basques

      • Laborde a écrit le 21 août 2014

        Ahahah, Julie , tu as tout dis !
        Vivant dans le Béarn mais étant née a Toulouse, je dois dire que le mélange saucisses/piperade m a un peu fait bondir …
        Mais la piperade en soi m´a l´air pas mal du tout 🙂

    • Anne a écrit le 18 juillet 2014

      mdr Gracianne :p

    • Anne a écrit le 18 juillet 2014

      mdr Gracianne 😉

  • catariège a écrit le 18 juillet 2014

    ça a l’air délicieux ;je teste ce w end après le marché

  • ampelopse a écrit le 18 juillet 2014

    J y vais de mon commentaire special EXCOMMUNION: c est LA saucisse de Toulouse, ya pas de saucisses au pluriel chez nous…elle se vend au metre! Ou au kilo….le reste c est de la chipo, avec de l extrait de cochenille dedans! Et pis c est tout….
    Sinon, la piperade….che pas, je digere mal les poivrons! 😉

    • Anne a écrit le 18 juillet 2014

      ohmygod. Je corrige de suite. 🙂

      • Immigrant a écrit le 4 mai 2019

        OMG.

  • Françoise a écrit le 18 juillet 2014

    Impossible de retrouver ta recette de la terrine aux 2 saumons que j’ai honteusement copiée et mise sur mon blog… Je suis hors sujet avec la Pipérade, mais je voulais malgré tout te dire que cette recette (la terrine, pas la pipérade, faut suivre !) est excellente, à faire et à refaire.
    bises

  • Patrick a écrit le 18 juillet 2014

    Bonjour papille, comme je ne sais ou mettre ma recette de région sur ton blog, voici une petite recette intéressante, compris son histoire, car une recette, c’est toujours une histoire, a toi après de la replacer dans ton blog ou tu le souhaiteras, j’espère qu’elle sera apprécier de tous, compris son histoire.

    Bonjour à tous et à la gourmande, lol, je vais vous remettre une vieille recette de mon enfance, de nos jours et dans sa région d’origine, il en on fait des dit triangles en boulangerie, mais la vraie recette, c’est la recette de mon arrière grand-mère, c’est la crêpe du Berry, comme la normande est à la Normandie, le Berry avait également sa crêpe, consistante et faisant ce moment à table avec la lampe à pétrole au centre, un moment unique, plein de pétillant et d’histoire.

    Je vais vous parler tout d’abord d’une ville avant sa recette, car qui mieux que l’histoire d’une ville qui a fait sa recette.

    Durant mon enfance, mon arrière grand mère me faisait visité une tour en plein centre de cette ville, c’était la tour Blanche de Castille, rénovée depuis et sa place, plus comme je l’avais connu, avec artisans de tous genres, compris le rémouleur et le maréchal ferrant, mais à notre siècle, je comprends qu’il à fallu changer comme dans cette boulangerie auprès de la tour.

    Saviez-vous que cette ville durant la seconde guerre mondiale était divisée en deux par la ligne de démarcation, mon arrière grand-mère me disait, tu vois en face de la rue, c’était la maison du notable à l’époque qui a été transformé en bureau pour les SS, ils venaient chez moi boire le café et me volé mes tasses de limoge, mais mon arrière grand-mère souriait, car les SS ne savaient pas que les caves le long de la rue s’ouvraient le soir pour passer les résistants et ainsi passer la ligne, elle rigolait tout le temps quand elle me racontait cela, elle me disait, ils sont bêtes ses SS, ils me vole mon café et mes tasses, mais il aurait suffit qu’ils ouvrent la trappe au bas de l’escalier pour aller au sous-sol pour voir le manège constant des résistants, même pas idée de ça, d’ou me rappeler de sa recette, car gourmand j’étais et elle le savait.

    Dans le Berry, cette crêpe est faite avec de la pomme de terre, à l’époque, la farine était très chers, alors que la pomme de terre était plus abordable, même si à l’époque le dorifore sévissait sur les cultures, donc avant que le Berry soit une terre de culture du blé, c’était celle de la pomme de terre en priorité.

    Avant de vous remettre cette recette, je vais vous parler un peu de cette ville, de son histoire et si vous y passez un jour, sachez qu’elle est agréable, en dehors qu’il faut monter beaucoup de marches pour rejoindre le haut de la tour, qui est visitable encore de nos jours, la ville à évoluer, c’est normal, mais elle a toujours son âme, ce qui en fait son charme, alors voici cette ville puis sa recette.

    j’en conviens, en été faire des crêpes, n’est pas de saison, mais essayez, de plus, elle peut également être comme dessert chaude avec un léger sucré ou comme pain au court du repas, il faut se rappeler qu’a l’époque, la simplicité et le peu de nourriture faisait d’une recette deux choses, de nos jours, nous avons tous ce que nous voulons et des divers régions, sans nous préoccuper de la base des recettes de chaque région, mais il faut comprendre le pourquoi d’une recette et pourquoi dans telle ou telle région à une époque, elle a été ainsi élaborée, c’est toujours en relation de son histoire, des guerres, de la paix et des ingrédients si trouvant et chaque région à sa perle, je pense que pour le Berry, sa crêpe est une perle en elle-même, la vraie et la seule, pas reprise par des boulangers, même si cette nouvelle génération en triangle est très bonne, mais ce n’est qu’une courtoisie d’un moment, pas des générations de personnes qui n’avaient que cela à manger.

    Le Berry est rude, terre de rouille et le tétanos n’est pas loin si vous ne vous soigner pas correctement, par contre, terre très accueillante avec plaines depuis pour le blé, terre de cuir souple travailler avec passion pour que nos vêtements et chaussures le soit le plus souple possible, terre hostile pour certains, mais gens chaleureux, simplicité et cœur, c’est ce que représente le Berry.

    Voici l’histoire de cette ville, tiraillé durant un temps de la seconde guerre, mais tellement belle, comme Blanche.

    Infos sur cette ville

    ISSOUDUN

    Le Blason

    Le blason « Les
    (En héraldique, le pairle désigne la forme du « Y ») armes sont d’azur au pairle alezé d’or, accompagnées de trois fleurs de lys, une au chef et deux aux flancs »

    Les origines
    Le peuplement de la ville que l’on nomma Exoldunum, Isis Xoldun ou encore Ypsoldun, est ancien. On a retrouvé des traces de présences humaines remontant à plus de 2000 ans avant JC.
    La signification de ce nom de la ville reste mystérieux, même si l’on sait que le suffixe  » dun  » désigne un lieu élevé, probablement le monticule sur lequel la Tour Blanche fut construite quelques siècles plus tard.
    L’emplacement était bien choisi, à la croisée des voies romaines, face aux plaines et au lit de la Théols. Le musée de l’Hospice Saint Roch conserve des vestiges architecturaux qui témoignent de ces temps reculés.
    Le Moyen-Age
    Au Moyen-Age, Issoudun est la deuxième ville du Berry. Un chroniqueur de l’époque vante le Nobile castrum Uexselloduni : le noble château d’Issoudun. Il s’agit en fait d’une place forte. Le château d’Issoudun devait ressembler à ce qu’on appelle  » la Cité  » à Carcassonne. Une partie de ces remparts est encore visible actuellement, et le tracé de la cité fortifiée est aisément reconnaissable.
    À la fin du XIIe siècle, Issoudun, située à la frontière des royaumes de France et d’Angleterre (qui possède l’Aquitaine), est le théâtre de plusieurs assauts. Philippe Auguste et Richard Cœur de Lion se battent pour la possession de la cité, dont les remparts sont renforcés. Les travaux de construction de la grande tour sont lancés en 1195. Ils s’achèveront en 1202. La ville est alors propriété du Royaume de France, depuis le mariage du futur Louis VIII avec Blanche de Castille. Ce donjon aux lignes d’une élégance rare est ouvert à la visite depuis l’année 2000.
    Pendant la Guerre de Cent Ans, en 1356, le Prince Noir fit une razzia sur Issoudun. La Tour Blanche défendit  » le château « , mais la ville et les faubourgs n’échappèrent ni au pillage ni aux flammes.
    Ville Royale
    Après ces épisodes agités, la ville a profité de ses privilèges royaux et connaîtra une longue période de prospérité grâce à ses productions agricoles et son savoir-faire en maroquinerie. Les guerres de religions terniront néanmoins cette richesse, avant que le grand incendie de 1651 ne ravage la cité. Sur la terrasse de la Tour Blanche, une maquette permet de découvrir Issoudun avant cet événement tragique.
    Après la révolution
    À la Révolution française, Châteauroux fut choisie comme préfecture de l’Indre contre Issoudun qui comptait pourtant plus du double d’habitants, mais ses vignerons turbulents effrayeront le pouvoir parisien. La ville de garnison allait couler des jours tranquilles : c’est cette ville que décrira Balzac dans  » La Rabouilleuse « .
    La seconde guerre mondiale
    Lors de la Deuxième Guerre mondiale, Issoudun se trouva à nouveau dans une position frontalière, entre la France occupée et la France dite  » libre  » et protégea de nombreuses personnes recherchées. Le bombardement du 8 juin 1940, attribué selon les sources aux Italiens ou aux Allemands détruisit plusieurs maisons du centre-ville.
    De hauts faits de résistance ont eu lieu : parfois tragiques, comme la fusillade sur la place des Marchés rebaptisée depuis place du 10 juin 1944, mais aussi victorieux, comme la reddition de la colonne Elster, une division allemande de 20.000 hommes, le 10 septembre 1944.
    Issoudun qui  » sous le joug de l’envahisseur, ne s’est jamais laissé influencer, ni par les promesses, ni par les meneurs  » est une des rares villes de France à être décorée de la Médaille de Guerre.

    Voila la générosité d’une ville et pour sa recette qui s’en suis, il fallait bien lui rendre hommage, car une crêpe n’est qu’une crêpe, mais fait avec amour et passion, cela devient de l’art, bien plus dans l’amour de ce dire que le petit fils va tellement apprécier, qu’il en fera rouler ses yeux pleins d’admiration avec sa langue qui en tombe d’avance sur ses genoux
    Oui je sais, je vous fait languir d’avance, mais cela est-il fait exprès, lol, bon, voici la recette
    LE RAPI, c’est son nom, normal, râpé les pommes de terre non cuite, d’ou l’origine de cette recette, il faut les râper manuellement et non avec les robots actuels, ce n’est pas le même gout sinon, donc huile de coude et les yeux avec pleins de soleil pour les cœurs très, très gourmands.

    – 100 g de farine
    – 4 grosses pommes de terre, environ 250 g total
    – 1 pincée de sel
    – 3 œufs
    – 60 cl de lait environ
    – 2 cuillères à soupe d’eau de fleur d’oranger pour en faire un dessert, 1 cuillère pour en faire le pain du repas

    – battre les œufs en omelette, ne pas mettre les coquilles, ça ferait désordre
    – mélanger la farine avec le sel puis faire un puit au centre. y ajouter les œufs et mélanger à l’aide d’un fouet, laisser reposer
    – durant ce temps, éplucher les pommes de terre et les râper, ne pas les faire cuire, sinon, c’est une purée que vous ferez et plus des rapis et les mélanger avec le reste
    – ajouter le lait petit à petit en mélangeant constamment pour éviter la formation de grumeaux, fouetter énergiquement, oui je sais, les pommes de terre font des grumeaux à eux tous seul, donc faire la pate sans grumeau avant d’incorporer les pommes de terre et les mélanger au reste doucement, fallait y penser, non ?
    – laisser reposer environ 30 minutes dans un saladier avec sur le dessus un torchon de cuisine propre je précise, le sel ainsi ajouté va faire gonfler la pate et lui donner sa souplesse
    – faire chauffer une poêle
    – tremper une demi pomme de terre dans l’huile et huiler la surface de la poêle avec, si vous ne voulez pas vous bruler et huiler plus vos mains que la poêle, piquer avec une fourchette la demi pomme de terre, c’est mieux pour la gourmandise finale, que de ce retrouver à l’hôpital pour brulure grave, lol
    – verser un peu de pâte à rapi dans le fond de la poêle à l’aide d’une petite louche, pour en faire le pain du repas, mettre plus de pate dans la poêle, logique non, tourner la poêle afin de bien répartir la pâte en un disque homogène
    – laisser cuire le rapi sur une face
    – décoller les bords du rapi puis le retourner.
    – le laisser cuire sur cette face puis débarrasser sur une assiette, ça c’est pour les yeux, le ventre, c’est après, lol

    A vous après coup d’être gourmand, pour être un dessert plus, vous pouvez rajouter un peu de poudre d’amande à la pate, mais sans, c’est aussi bon avec un peu de sucre glace dessus, c’est divin, plein les moustaches et plein le cœur à sa finalité, dommage qu’il y en a pas un peu plus, lol !

    • anne a écrit le 19 juillet 2014

      et bé c’était long

  • anne a écrit le 19 juillet 2014

    bonjour, juste une astuce que je tiens de ma maman et d’une copine qui est une puriste de la piperade (et qui ne sont pas basques) c’est vrai que le piment landais est rare mais une fois qu’on y a gouté, le poivron paraît pauvre… bref tout démarrer en cuisson séparément et tout mélanger 5 min avant la fin de la cuisson ….

  • eguiabehere a écrit le 19 juillet 2014

    en fait c est plus une ratatouille! pour la piperade surtout pas de poivron rouge pour le piment d anglet, si tu n en as pas il existe des piments vert d Espagne qui ne sont pas des poivrons et qui se rapprochent un peu plus de ceux d anglet tu verras au niveau saveur cela n’a rien a voir gros bisous

  • BBSOHO a écrit le 19 juillet 2014

    Pourquoi s’attirer les foudres de celles ou ceux qui prétendent avoir la bonne recette?…
    Il n’y a pas une recette, mais des recettes, et la vôtre fait partie des vraies recettes pourquoi pas!!
    Vous savez bien que les recettes peuvent se décliner à l’infini, alors que les redresseurs de torts passent leur chemin, comme de nombreuses lectrices et lecteurs ici, je vous encourage à continuer dans votre créativité!! Ce blog est une merveille.
    sourire

    Bon appétit Anne…

  • Helson a écrit le 15 juillet 2015

    Pourquoi appeler ce plat piperade puisque ce n ‘en est pas une ? D’autre part le piment employé pour la pipérade n’a rien d e basque , c’est un piment doux des Landes
    Et enfin savez vous que piperade vient de piper (qui en gascon veut dire piment
    Je ne doute pas que votre plat est bon, mais ce n’est pas une pipérade
    Merci pour votre blog que je lis toujours avec plaisir

  • Christian a écrit le 15 avril 2016

    Trop drôles certains commentaires « excommuniants »!!!
    Je vous recommande de ré-écouter « la ballade des gens qui sont nés quelque part », de Brassens, ou son intéressante reprise par Tarmac.
    Pour ma part, métis, ayant pas mal voyagé, curieux de toutes les cultures, toutes les cuisines, il y a longtemps que j’ai constaté, dans la région d’origine, qu’il y a autant de « vraies » recettes qu’il y a de cuisinier(e)s, surtout bien du pays, et heureusement, car c’est vivant et créatif, la cuisine! Vrai pour le couscous, la paella, le curry, la bolognaise, le taboulé, etc…

    Juste une remarque, n’as tu pas oublié de mentionner l’ail? (présent sur la photo).
    Je confirme le truc des piments doux verts (Afrique du nord), plus faciles à trouver.
    Dans tout les cas, merci pour ta recette.

  • Manon a écrit le 18 mai 2016

    J’ai l’impression d’être la seule à me poser la question mais… quand met-on les piments… ? J’ai eu beau lire et relire la recette, impossible de trouver…

    • Anne a écrit le 19 mai 2016

      En même temps que les poivrons. Je viens de rectifier. Bonne journée

  • Florence a écrit le 30 juillet 2016

    Je n’ai jamais de ma vie goûté une piperade (je suis de la Picardie…..), mais à lire cette recette et ses commentaires, cela me donne vraiment envie de tester.
    Merci, c’est un plaisir de vous lire.

  • Zygene7 a écrit le 7 juillet 2017

    Personnellement je respecte les ingrédients énoncé dans la recette, mais, oui il y a un « Mais » suivant la saison et les légumes trouvé au marché, parfois j’additionne aussi des (2) courgettes, (2) aubergines et une bonne poignée de haricots verts « frais » et c’est merveilleux ( Vous avez remarqué j’ai orthographier le mot haricot par avec un « H » et j’aime mieux.

    Bonne tambouille

  • Dédette Man a écrit le 6 août 2018

    Bonjour Anne, je fais exactement la même piperade, la seule différence, je la fais dans une sauteuse avec couvercle, car à la fin je ne mélange pas les oeufs, je les casses directement dessus en entier (comme des oeufs au plat) et je mets le couvercle pour que le blanc d’oeuf cuise dessus et on se régale en piquant dans le jaune pour qu’il coule sur la piperade. Hum !!!!! rien que d’y penser j’en ai l’eau à la bouche !!!

  • pl a écrit le 6 août 2018

    je cuisine comme cela la piperade car en auvergne j’ai des difficultés mais j’ai eu un ex beau père basque espagnol qui rajoutait un oeuf dedans ou deux alor s je crois que chacun fait « sa » piperade » et au pays basque on mange la vraie ..ou pas

  • Oli a écrit le 8 avril 2019

    Je suis basque et effectivement qu’on vous parlera de la VRAIE recette…
    Si on fait un plat et qu’on l’appelle Piperade alors que ça n’a rien a voir au niveau des ingrédients, ça parait logique.
    C’est comme faire une soi disante Blanquette de veau en mettant du porc et du vin rouge…
    Et oui, pas de poivrons, piments d’Espelette (ou gros piments si on a pas la chance d’y vivre), un œuf à mettre et à brouiller à la fin et les cubes de jambon sont un plus , pas toujours utile étant donné qu’elle est souvent servie avec du jambon cru à coté.
    Votre mélange de légumes doit être bon aussi.

  • Opale a écrit le 18 août 2019

    Acheté ce matin au marché de Montpellier des piments des Landes !
    Alors piperade « hors » poivrons en cours.

  • Lillteanna a écrit le 6 septembre 2019

    On vient me m’en servir à l’hôpital avec des œufs brouillés alors j’ai aimé donc cherché la recette et si ! la nourriture est toujours bonne à l’hôpital et j’aime
    tes commentaires et je m’appelle Annick et suis bretonne et je rentre à la maison ce soir elle est pas belle la vie 🙄

    • Anne a écrit le 7 septembre 2019

      Coucou Annick. BOn retour à la maison alors 🙂

  • lascols chantal a écrit le 18 septembre 2019

    Bonjour Anne, j’adore l’entrée en matière de cette recette de piperade. Il y a toujours des gens chagrins et qui sont certains d’avoir la science infuse. Je reponds toujours a ce genre de commentaires que je n’ai pas la prétention de faire la vraie recette mais surtout que pour moi en cuisine tout est permis, l’essentiel étant que ce soit bon. Merci de nous faire partager vos recettes et vos voyages. Chantal.

    • Anne a écrit le 19 septembre 2019

      Merci beaucoup Chantal et bonne journée,

  • CROZES a écrit le 26 avril 2021

    Bonjour, parfait pour accompagner mon dos de merlu.
    J’adore une épice, le clou de Girofle, 2 ou 3 exemplaires dans une petite boule à thé pour ne pas les retrouver sous la dent.
    A midi avec un reste de Paleron venant du bouilli d’hier.

    • Anne a écrit le 26 avril 2021

      🙂 C’est puissant le clou de girofle. C’est vrai que j’en utilise peu.

  • Gisèle Flachon a écrit le 16 mai 2021

    Bonjour
    Merci pour la recette une question à quel moment couvrez vous la casserole
    Tout est à découvert jusqu’à l’ajout des tomates ?
    Merci

    • Anne a écrit le 16 mai 2021

      Bonjour Gisèle,

      Tout est à découvert

  • Léopold a écrit le 21 août 2021

    Pour les piment « d’Anglet » on en trouve en saison au Capus, un maraicher de Bruges en porte en saison le samedi.En fin de saison avant qu’ils durcissent, j’en achète un stock que je prépare et congèle prêts à l’emploie.

  • Julie0664 a écrit le 24 août 2021

    Bonjour
    Je vous suis avec plaisir , réalise souvent vos recettes toujours appréciées et cite souvent votre blog comme étant un des meilleurs proposés sur le Net
    mais alors là je ne peux m’empêcher de réagir avec vigueur devant tant d’affirmations erronées de mon point de vue.
    Le piment doux est indispensable pour la piperade et ne saurait être remplacé par des poivrons. Avec des poivrons c’est autre chose , une thachouka our autre plat d’ailleurs, donc ne pas appeler une piperade un plat avec poivrons. Vous l’avez signalé c’est vrai, mais le piment en question c’est le piment landais et non basque, encore moins le piment d’Espelette. C’est vrai aussi les Landes ne sont pas loin du pays Basque.
    je sais bien que le pays basque est champion en matière de marketing mais la piperade n’est pas d’origine basque , les basques l’ont empruntée du Béarn voisin, piper voulant d’ailleurs dire piment en béarnais. Cette clarification me semble nécessaire, les Basques ont assez de produits, je précise que je n’ai rien contre les Basques, ils sont d’excellents « vendeurs et promoteurs « de leur région, reconnaissons le.

  • Dab a écrit le 28 novembre 2021

    Ah lala tous ces commentaires pour dire que cette pipérade n’en est pas une… Oui c’est peut être mieux avec des piments doux des Landes, m’enfin les poivrons c’est quoi d’autre que des gros piments doux ? Il me semble qu’on ne crie pas aussi fort quand on mange une pizza sans savoir la variété de la tomate qui a fait la sauce ?!

    • Anne a écrit le 29 novembre 2021

      mdr 🙂 Cela peut arriver 😉

  • Coco a écrit le 27 juillet 2022

    Et quelques gousses d’ail entieres qui mijotent mmm

  • Odilon a écrit le 15 septembre 2022

    Au secours j’ai besoin d’aide
    J’ai fait 9 kg de piperade afin de les mettre en bocaux
    On m’a vendu du piment fort au lieu du doux ce qui fait que ma piperade est beaucoup trop forte
    que puis-je faire pour vraiment l’adoucir…
    J’en ai pris un peu dans une casserole j’ai mis de la crème fraiche comme je l’ai lu mais cela n’a rien donné
    Merci de me donner un conseil s’il vous plait car je ne vais pas pouvoir la garder longtemps il faut que je stérilise
    Cordialement

    • Anne a écrit le 15 septembre 2022

      Bonjour

      Je ne sais pas du tout. Désolée

  • Françoise a écrit le 1 novembre 2022

    Bonjour, en ce qui le concerne je ne pele jamais les poivrons je les laisse bien cuire et c’est très bon et pas de problème pour la digestion.
    J’adore tous ces commentaires. Merci

    • Anne a écrit le 1 novembre 2022

      Bonjour

      Certaines personnes y sont plus sensibles que d’autres 🙂

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  • houria amamra a écrit le 18 juillet 2014

    Piperade en français
    Félfla en algérien mangée chaude seulement c très bon

  • Papilles et Pupilles a écrit le 18 juillet 2014

    merci pour le nom de la variante algérienne 🙂

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Anne Lataillade

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