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Maquereaux en conserve : riches en Omega 3

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Maquereaux en boite. © thefoodphotographer shutterstock

Maquereaux en boite. © thefoodphotographer shutterstock

Le maquereau en conserve : nutriments et vitamines en stock

Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C’est un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !  C’est un atout formidable qui permettrait, en consommation régulière, de remonter l’apport de ces Oméga 3 qui est trop faible pour la majorité des Français (en moyenne 120 mg par jour au lieu des 250 mg recommandés).

Le maquereau contient de l’iode, ce qui n’est pas courant pour les poissons. Une portion de 100 g de maquereau couvre à elle seule 43 % du besoin quotidien en iode. Un atout important quand on sait que 20 % de la population française manque d’iode en raison d’une consommation trop faible de poissons et fruits de mer. De tous les poissons en conserve, le maquereau est celui qui contient le plus d’iode.

Mais ce n’est pas tout. Le maquereau est également riche en vitamine D : une portion de 100 g couvre le besoin quotidien en vitamine D ! Il est également riche en protéines, en vitamine B12 et en sélénium (oligoélément au pouvoir anti oxydant).

Manger du maquereau, c’est donc non seulement se faire plaisir (les recettes sont nombreuses) mais c’est aussi s’offrir un apport en EPA, en DHA, en iode, en vitamine D, d’iode, en protéines, en vitamine B12 et en sélénium. [Avis des Médecins Nutritionnistes Dr Laurence Plumey et Dr Arnaud Cocaul]

Le maquereau en conserve : pêché au gré des migrations

Filets de maquereaux dans une assiette ©thefoodphotographer shutterstock

Filets de maquereaux dans une assiette ©thefoodphotographer shutterstock

Le maquereau aujourd’hui mis en œuvre dans les conserveries françaises appartient à l’espèce Scomber scombrus, maquereau commun européen. Il est pêché principalement de fin septembre à février lors de ses déplacements qui l’amènent à migrer depuis les côtes norvégiennes jusqu’au large de l’Écosse et de l’Irlande, puis de mi-février à avril, dans le Golfe de Gascogne. Lorsqu’il ne peut être mis en conserve immédiatement, il est congelé essentiellement à terre à proximité des lieux de débarquement, en poisson entier ou en poisson étêté vidé. Cela assure un approvisionnement en matières premières de qualité pour les conserveries.

Quelle technique de pêche ?

Le maquereau est pêché principalement avec la technique du chalut pélagique : il s’agit d’un grand filet conique tracté par un bateau, qui cible le banc de maquereaux. Les prises sont remontées à bord par l’arrière du navire, ou transférées directement dans des cuves, au moyen de pompes adéquates, ce qui permet de limiter la manutention et d’avoir des poissons de meilleure qualité.

Les bonnes pratiques de la filière garanties par une charte d’engagement

Les conserves de poissons sont des produits de haute qualité, issus de poissons soigneusement sélectionnés et de techniques de pêche adaptées, dans le respect des réglementations en vigueur et allant même au-delà dans certains cas. Détenteurs d’une expertise de pointe, les fabricants français ont rédigé une Charte d’Engagement réunissant leurs bonnes pratiques. De la pêche jusqu’au produit fini, ils s’engagent à fournir des conserves de qualité, respectueuses des attentes des consommateurs, tant en matière de goût que de respect de l’environnement et des ressources marines, que de sécurité sanitaire, de qualités nutritionnelles ou de responsabilité sociétale.

  • Préserver les ressources maritimes
  • Promouvoir une pêche durable
  • Respecter l’environnement
  • Contrôler la qualité des produits
  • Assurer une sécurité sanitaire optimale
  • Garantir une traçabilité rigoureuse
  • Conserver les qualités nutritionnelles des poissons
  • Remplir un rôle citoyen

Enjoy !

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Anne Lataillade
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Je m'appelle Anne, je vis à Bordeaux et je suis depuis 2005 celle qui partage sur ce blog recettes, coups de cœurs, voyages et reportages. En savoir plus

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Anne Lataillade

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Je m'appelle Anne, je vis à Bordeaux et je suis depuis 2005 celle qui partage sur ce blog recettes, coups de cœurs, voyages et reportages. Cliquez ici si vous voulez en savoir plus sur moi.

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