On en distingue deux grandes variétés : le homard européen appelé « homard bleu » en raison des reflets de sa carapace, et le homard américain ou canadien, de couleur plus orangée.
L’habitat de prédilection du homard bleu se constitue de fonds rocheux sur lesquels il se déplace à la recherche de coquillages, de vers, de petits crustacés et de poissons. Il peut vivre jusqu’à 100 mètres de profondeur.
Le homard bleu est un mets délicat et fin que l’on sert poché, grillé ou braisé. Cuit, il arbore une belle couleur orangée provenant d’une molécule de la famille des caroténoïdes, libérée par la chaleur. Peu calorique avec seulement 90 à 98 kcal/100g, sa chair est riche en acides gras Oméga-3, réputés pour favoriser la bonne santé cardio-vasculaire.
Le saviez-vous ?
- Sa zone de pêche : le homard bleu est pêché le long des côtes atlantiques, du cercle polaire jusqu’au littoral marocain.
- Sa saison de pêche : le homard bleu se pêche du mois d’avril au mois de septembre.
- Ses signes de fraîcheur : le homard s’achète vivant. Lorsqu’on le soulève par les côtés, sa queue doit se replier vigoureusement sous son thorax. La carapace doit être épaisse et dure, signe que la chair est abondante. L’idéal est de choisir un homard bien lourd avec toutes ses pattes et ses antennes.
- Sa conservation : le homard vivant se conserve une journée au réfrigérateur, sous un linge humide. Cuit, il ne se conserve pas plus d’un jour ou deux. Pour congeler la chair, il suffit de le recouvrir d’une saumure (10 ml de sel par tasse d’eau) dans un récipient fermé.
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